Marie-Claire Alain est toujours un nom retentissant dans le monde international de l'orgue, tant auprès du grand public que des collègues. Il semble donc inapproprié de critiquer son troisième (!) Cycle Intégral de Bach, joué sur des orgues historiques de l'époque de Bach (y compris un certain nombre d'orgues hollandaises célèbres et bien restaurées). Eh bien, ce n'est pas différent: -
… Dies Sind Die Heil'gen Zehn Gebot (Orgelbüchlein) est inscrit si logiquement que, entre autres, la pédale ne peut plus être suivie; - dans le pari «inégal» du Fantasy BWV.562 joué, un décompte est en fait ignoré; - dans la Passacaglia il y a une erreur inquiétante à 2:09; - les performances du Wachet Auf BWV.645 souffrent d'une pédale de réponse trop lente. Ce ne sont que quatre exemples aléatoires d'un cycle avec un jeu d'orgue souvent précipité, agressif et souvent trop épais. Gramophone a précédemment écrit à propos de l'un de ces CD (enregistré à Alkmaar): «Ce disque est une grande déception. Alain semble d'une humeur résolument agressive en utilisant le plus lourd des enregistrements. N'y a-t-il donc rien de bon? Eh bien, la fin extrêmement virtuose de la troisième sonate en trio est jouée de manière assez stable et précise, malgré le tempo rapide. Parfois, elle a réussi à être à la hauteur de son ancienne gloire. Malheureusement, la piste suivante (Sonata n ° 4, partie 1) est à nouveau une affaire de désordre. (HJ) malgré le rythme rapide. Alors parfois, elle a réussi à être à la hauteur de son ancienne gloire. Malheureusement, la piste suivante (Sonata n ° 4, partie 1) est à nouveau une affaire de désordre. (HJ) malgré le rythme rapide. Alors parfois, elle a réussi à être à la hauteur de son ancienne gloire. Malheureusement, la piste suivante (Sonata n ° 4, partie 1) est à nouveau une affaire de désordre. (HJ)plus