Le mathématicien médiéval Léonard de Pise, surnommé Fibonacci, a inventé un jeu d'esprit dans lequel une paire de lapins jette une nouvelle paire chaque mois. Cette nouvelle paire (et toutes les paires suivantes) se reproduisent également périodiquement de la même manière. Mais maintenant ça vient: parce que les couples (selon l'intention de Fibonacci) ne sont fertiles qu'à partir de
… leur deuxième mois de vie, le nombre de couples augmente par mois selon la série 1-1-2-3-5-8-13-21-34-55 -89-144 ... (notez que chaque terme de cette séquence est la somme des deux précédents.) Bien sûr, les lapins ne s'unissent pas d'une manière aussi mathématique (nous savons mieux), mais a ce qu'on appelle Fibonacci les séries ne les ont pas empêchés de faire une impression profonde sur les mathématiciens. Les paires successives de nombres de Fibonacci correspondent approximativement à ce que Léonard de Vinci a qualifié de «Sectio Aurea», ou le nombre d'or (± 1: 1,618). Une brume d'harmonie et de perfection entoure cette relation mystérieuse. Les architectes de Vitruve à Le Corbusier ont utilisé le nombre d'or pour leurs créations. Cependant, cela concerne les analyses du théoricien hongrois Ernö Lendvai. Il a réussi à trouver des exemples avec Bartok, dans lesquels le compositeur a délimité les sections individuelles d'un morceau de musique à l'exemple de la séquence de Fibonacci. On en trouve des exemples dans la Sonate pour deux pianos et percussions, malheureusement peu jouée, ici interprétée par le duo Hans-Peter et Volker Stenzl (piano) et par Uwe Arlt et Gyula Rácz (percussions). Le CD contient également une adaptation de Petrouchka de Stravinsky. (HJ) ou le nombre d'or (± 1: 1,618). Une brume d'harmonie et de perfection entoure cette relation mystérieuse. Les architectes de Vitruve à Le Corbusier ont utilisé le nombre d'or pour leurs créations. Cependant, cela concerne les analyses du théoricien hongrois Ernö Lendvai. Il a réussi à trouver des exemples avec Bartok, dans lesquels le compositeur a délimité les sections individuelles d'un morceau de musique à l'exemple de la séquence de Fibonacci. On en trouve des exemples dans la Sonate pour deux pianos et percussions, malheureusement peu jouée, ici interprétée par le duo Hans-Peter et Volker Stenzl (piano) et par Uwe Arlt et Gyula Rácz (percussions). Le CD contient également une adaptation de Petrouchka de Stravinsky. (HJ) ou le nombre d'or (± 1: 1,618). Une brume d'harmonie et de perfection entoure cette relation mystérieuse. Les architectes de Vitruve à Le Corbusier ont utilisé le nombre d'or pour leurs créations. Cependant, cela concerne les analyses du théoricien hongrois Ernö Lendvai. Il a réussi à trouver des exemples avec Bartok, dans lesquels le compositeur a délimité les sections individuelles d'un morceau de musique à l'exemple de la séquence de Fibonacci. On en trouve des exemples dans la Sonate pour deux pianos et percussions, malheureusement peu jouée, ici interprétée par le duo Hans-Peter et Volker Stenzl (piano) et par Uwe Arlt et Gyula Rácz (percussions). Le CD contient également une adaptation de Petrouchka de Stravinsky. (HJ) Les architectes de Vitruve à Le Corbusier ont utilisé le nombre d'or pour leurs créations. Cependant, cela concerne les analyses du théoricien hongrois Ernö Lendvai. Il a réussi à trouver des exemples avec Bartok, dans lesquels le compositeur a délimité les sections individuelles d'un morceau de musique à l'exemple de la séquence de Fibonacci. On en trouve des exemples dans la Sonate pour deux pianos et percussions, malheureusement peu jouée, ici interprétée par le duo Hans-Peter et Volker Stenzl (piano) et par Uwe Arlt et Gyula Rácz (percussions). Le CD contient également une adaptation de Petrouchka de Stravinsky. (HJ) Les architectes de Vitruve à Le Corbusier ont utilisé le nombre d'or pour leurs créations. Cependant, cela concerne les analyses du théoricien hongrois Ernö Lendvai. Il a réussi à trouver des exemples avec Bartok, dans lesquels le compositeur a délimité les sections individuelles d'un morceau de musique à l'exemple de la séquence de Fibonacci. On en trouve des exemples dans la Sonate pour deux pianos et percussions, malheureusement peu jouée, ici interprétée par le duo Hans-Peter et Volker Stenzl (piano) et par Uwe Arlt et Gyula Rácz (percussions). Le CD contient également une adaptation de Petrouchka de Stravinsky. (HJ) où le compositeur a délimité les sections individuelles d'un morceau de musique en suivant l'exemple de la séquence de Fibonacci. On en trouve des exemples dans la Sonate pour deux pianos et percussions, malheureusement peu jouée, ici interprétée par le duo Hans-Peter et Volker Stenzl (piano) et par Uwe Arlt et Gyula Rácz (percussions). Le CD contient également une adaptation de Petrouchka de Stravinsky. (HJ) où le compositeur a délimité les sections individuelles d'un morceau de musique en suivant l'exemple de la séquence de Fibonacci. On en trouve des exemples dans la Sonate pour deux pianos et percussions, malheureusement peu jouée, ici interprétée par le duo Hans-Peter et Volker Stenzl (piano) et par Uwe Arlt et Gyula Rácz (percussions). Le CD contient également une adaptation de Petrouchka de Stravinsky. (HJ)plus