Il n'arrivera pas souvent que l'orgue sur la pochette ne soit pas l'instrument du CD. La musique d'orgue a été enregistrée au Dom de Verden (Basse-Saxe, Allemagne). L'orgue de la photo est celui d'une synagogue en Roumanie, notez les nombreuses stars de David. Les organes des synagogues existent apparemment depuis plus longtemps que vous ne le pensez. Par exemple, le livret mentionne une image
… de 1494 sur laquelle un orgue synagogique serait vu pour la première fois. Cependant, ce n'est qu'en 1869 que le premier synode juif de Leipzig accorda le statut officiel à l'orgue. Ce CD montre comment ce développement s'est poursuivi. La plupart des pièces ne diffèrent guère du style romantique allemand alors dominant. Parfois, cependant, une mélodie ou un saut d'intervalle trahit la signature juive. Deux morceaux du programme ont été entendus pour la première fois lors d'un concert à la Grande Synagogue de Wiesbaden dans l'année inquiétante de 1934. Ces morceaux sont déjà un peu plus modernes. Cela est particulièrement vrai du dramatique Prelude de Max Wolf. De Siegfried Würzburger puis une Passacaglia et une fugue sur Kol Nidre ont retenti, la célèbre mélodie de Yom Kippur (Day of Atonement) qui a également inspiré Max Bruch. Würzburger est malheureusement mort d'épuisement dans le ghetto de Lodz en 1942. Enfin, un prélude mélancolique de 1963 de Heinrich Schalit pour Temple Emanu-El à New York. Schalit avait survécu à l'Holocauste en s'enfuyant aux États-Unis à temps. En plus des œuvres pour orgue, jouées par Stephan Lutermann, on entend aussi des chants synagogiques et des chants folkloriques, chantés par le chantre Assaf Levitin. (HJ) De Siegfried Würzburger, il y avait une Passacaglia et une fugue sur Kol Nidre, la célèbre mélodie de Yom Kippur (Day of Atonement) qui a également inspiré Max Bruch. Würzburger est malheureusement mort d'épuisement dans le ghetto de Lodz en 1942. Enfin, un prélude mélancolique de 1963 de Heinrich Schalit pour Temple Emanu-El à New York. Schalit avait survécu à l'Holocauste en s'enfuyant aux États-Unis à temps. En plus des œuvres pour orgue, jouées par Stephan Lutermann, on entend aussi des chants de synagogue et des chansons folkloriques chantées par le chantre Assaf Levitin. (HJ) De Siegfried Würzburger puis une Passacaglia et une fugue sur Kol Nidre ont retenti, la célèbre mélodie de Yom Kippur (Day of Atonement) qui a également inspiré Max Bruch. Würzburger est malheureusement mort d'épuisement dans le ghetto de Lodz en 1942. Enfin, un prélude mélancolique de 1963 de Heinrich Schalit pour Temple Emanu-El à New York. Schalit avait survécu à l'Holocauste en s'enfuyant aux États-Unis à temps. En plus des œuvres pour orgue, jouées par Stephan Lutermann, on entend aussi des chants synagogiques et des chants folkloriques, chantés par le chantre Assaf Levitin. (HJ) Enfin, un prélude mélancolique de 1963 de Heinrich Schalit pour Temple Emanu-El à New York. Schalit avait survécu à l'Holocauste en s'enfuyant aux États-Unis à temps. En plus des œuvres pour orgue, jouées par Stephan Lutermann, on entend aussi des chants synagogiques et des chants folkloriques, chantés par le chantre Assaf Levitin. (HJ) Enfin, un prélude mélancolique de 1963 de Heinrich Schalit pour Temple Emanu-El à New York. Schalit avait survécu à l'Holocauste en s'enfuyant aux États-Unis à temps. En plus des œuvres pour orgue, jouées par Stephan Lutermann, on entend aussi des chants synagogiques et des chants folkloriques, chantés par le chantre Assaf Levitin. (HJ)plus