Ce double CD peut être divisé en deux moitiés distinctes. Sur le premier CD, six "Ensaladas" du poète-compositeur espagnol Mateo Flecha (1481-1553) sont jouées, tandis que le second CD est entièrement rempli de musique écrite pour la liturgie de la cathédrale Santa Fe de Bogotá. Dans le livret d'accompagnement, la chef d'orchestre Isabel Palacios explique cette combinaison en soulignant le
… caractère de l'ensalada (littéralement: salade), un poème ou un morceau de musique dans lequel toutes les formes et langues connues sont utilisées de manière interchangeable. Palacios estime que les habitants d'Amérique latine sont, en fait, à la fois un produit et un producteur d'un tel mélange. Palacios explique également brièvement les règles concernant la sélection des instruments qu'elle et son ensemble Camerata Renacentista de Caracas ont suivi pour les performances. Quoi qu'il en soit, le résultat est très coloré, ce qui donne l'impression que cette musique résonne ici dans une adaptation de Respighi. Dans une moindre mesure, ce constat s'applique aux performances du deuxième CD. Douze compositions des XVIIe et XVIIIe siècles par un total de six compositeurs y seront jouées. Le plus étendu est le "Requiem" pour chœur à cinq voix de Juan de Herrera (vers 1670-1738), œuvre écrite dans un style plutôt archaïque à l'époque. Certaines œuvres semblent assez exubérantes, dont un magnifique motet solo "Solo 'a Nuestra Señora de la Soledad'" de José Cascante (vers 1640-1702). Les performances montrent un grand enthousiasme pour cette musique totalement inconnue. (JvG) _ donnant l'impression que cette musique est ici une adaptation de Respighi. Dans une moindre mesure, ce constat s'applique aux performances du deuxième CD. Douze compositions des XVIIe et XVIIIe siècles par un total de six compositeurs y seront jouées. Le plus étendu est le "Requiem" pour chœur à cinq voix de Juan de Herrera (vers 1670-1738), œuvre écrite dans un style plutôt archaïque à l'époque. Certaines œuvres semblent assez exubérantes, dont un magnifique motet solo "Solo 'a Nuestra Señora de la Soledad'" de José Cascante (vers 1640-1702). Les performances montrent un grand enthousiasme pour cette musique totalement inconnue. (JvG) _ donnant l'impression que cette musique est ici une adaptation de Respighi. Dans une moindre mesure, cette observation s'applique aux performances du deuxième CD. Douze compositions des XVIIe et XVIIIe siècles par un total de six compositeurs y seront jouées. Le plus étendu est le "Requiem" pour chœur à cinq voix de Juan de Herrera (vers 1670-1738), œuvre écrite dans un style plutôt archaïque à l'époque. Certaines œuvres semblent assez exubérantes, dont un magnifique motet solo "Solo 'a Nuestra Señora de la Soledad'" de José Cascante (vers 1640-1702). Les performances montrent un grand enthousiasme pour cette musique totalement inconnue. (JvG) _ Douze compositions des XVIIe et XVIIIe siècles par un total de six compositeurs y seront jouées. Le plus étendu est le "Requiem" pour chœur à cinq voix de Juan de Herrera (vers 1670-1738), œuvre écrite dans un style plutôt archaïque à l'époque. Certaines œuvres semblent assez exubérantes, dont un magnifique motet solo "Solo 'a Nuestra Señora de la Soledad'" de José Cascante (vers 1640-1702). Les performances montrent un grand enthousiasme pour cette musique totalement inconnue. (JvG) _ Douze compositions des XVIIe et XVIIIe siècles par un total de six compositeurs y seront jouées. Le plus étendu est le "Requiem" pour chœur à cinq voix de Juan de Herrera (vers 1670-1738), œuvre écrite dans un style plutôt archaïque à l'époque. Certaines œuvres semblent assez exubérantes, dont un magnifique motet solo "Solo 'a Nuestra Señora de la Soledad'" de José Cascante (vers 1640-1702). Les performances montrent un grand enthousiasme pour cette musique totalement inconnue. (JvG) _plus