Cuba ne pouvait pas souhaiter un meilleur ambassadeur que Roberto Fonseca. Le pianiste parcourt inlassablement le monde, mais revient toujours à La Havane. «Je ne peux pas imaginer vivre dans un pays autre que Cuba», dit-il. Le son de Fonseca a toujours eu de forts éléments cubains, mais cet album est une véritable lettre d'amour à son île. Fonseca s'immerge complètement dans l'histoire de
… la musique cubaine. Chaque chanson a un rythme différent, un style différent. L'album plonge également profondément dans l'âme de Fonseca. Son propre mambo, par exemple, est un hommage à sa mère qui lui a assuré: «Danser un mambo, c'est danser près du ciel». Le divers Abuc filme des auditeurs mélancoliques (Tumbao De La Unidad, avec un rôle d'invité du vétéran ) à la musique de danse trépidante (le chant d'ouverture festif Cubano Chant) et à la Contradanza Del Espíritu au son presque classique. Pour les amateurs de musique cubaine, cet album est proche du paradis. (PdK)plus