(Ce texte a été traduit automatiquement par DeepL)
C'est le frontman de Golden EarringBarry Hay qui a un jour conseillé à un club de jeunes rockeurs de Nimègue de nommer leur groupe Navarone. Un nom difficile à prononcer pour un groupe difficile qui a réussi à surprendre avec un son rock très serré lors de prestations télévisées, entre autres. Ce faisant, le chanteur Merijn van Haren les a dépeints comme un jeune Paul Rogers ou Robert… Plant. Navarone en est à son cinquième album. Leur nom est connu aux Pays-Bas, mais il n'y a pas encore eu de véritable percée. Reste à savoir si V forcera celle-ci, bien que cette fois le groupe fasse tout son possible pour sonner accessible et sensible au hit. Ils se sont orientés vers une sorte d'emo-pop, avec un rôle prépondérant pour la récitation portée par Van Haren dont la voix aiguë est plus susceptible d'être rejointe par des méandres de piano que par des guitares rock. En même temps, ses ennuis émotionnels n'ont pas vraiment envie d'arriver grâce à la production léchée. Il faut espérer qu'ils toucheront un nouveau grand public avec V car ils s'aliènent de leurs fans avec cet album pop glissant. (MR)plus
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